Hautes-Alpes -
Près de 170 000 personnes viennent visiter, chaque année, le sanctuaire
marial de Notre-Dame-du-Laus, reconnu pour les apparitions de la Vierge Marie à
Benoîte Rencurel de 1664 à 1718. Actuellement, aucun projet n’est
arrêté mais le Diocèse veut faire face à une fréquentation toujours plus
importante.
Il n’est pas envisagé la construction d’une nouvelle église mais d’un bâtiment culturel et cultuel « modulable » capable d’accueillir de 300 à 3 000 personnes, comme lors des colloques ou des grands rassemblements religieux. « Rien n’est arrêté. Il peut s’agir d’une construction sous-terraine ou extérieure. De nombreux terrains qui sont autour du sanctuaire nous appartiennent » précise l’évêque de Gap et d’Embrun. « Il faut des cloisonnements en fonction du monde et en fonction de son utilisation. Aujourd’hui, des personnes qui participent à un colloque arrivent avec leurs ordinateurs. Il faut des connections. Si nous recevons des étrangers il faut des cabines de traductions » ajoute Monseigneur Jean-Michel di Falco Léandri.
Un cabinet d’architecte doit être sollicité dans les prochaines semaines. Les ingénieurs ont six mois pour présenter leurs projets qui seront finalement débattu devant un jury. Le projet retenu devra « s’intégrer » dans le paysage du sanctuaire marial. « C’est susciter l’intérêt de la part de personnes qui pourraient dans une dimension purement touristique venir découvrir le lieu », explique le recteur de Notre-Dame-du-Laus. « Nous sommes convaincus qu’une démarche de foi peut naitre, se développer, s’approfondir, par la découverte d’un lieu ou par la beauté d’un monument » précise le père Ludovic frère.
Côté financement, le Diocèse pourrait s’appuyer sur une partie des ventes du petit séminaire de Saint-Louis au conseil Général des Hautes-Alpes, pour une somme de 7 millions d’euros. Le diocèse n’exclu pas de faire appel également à du mécénat.
Il n’est pas envisagé la construction d’une nouvelle église mais d’un bâtiment culturel et cultuel « modulable » capable d’accueillir de 300 à 3 000 personnes, comme lors des colloques ou des grands rassemblements religieux. « Rien n’est arrêté. Il peut s’agir d’une construction sous-terraine ou extérieure. De nombreux terrains qui sont autour du sanctuaire nous appartiennent » précise l’évêque de Gap et d’Embrun. « Il faut des cloisonnements en fonction du monde et en fonction de son utilisation. Aujourd’hui, des personnes qui participent à un colloque arrivent avec leurs ordinateurs. Il faut des connections. Si nous recevons des étrangers il faut des cabines de traductions » ajoute Monseigneur Jean-Michel di Falco Léandri.
Un cabinet d’architecte doit être sollicité dans les prochaines semaines. Les ingénieurs ont six mois pour présenter leurs projets qui seront finalement débattu devant un jury. Le projet retenu devra « s’intégrer » dans le paysage du sanctuaire marial. « C’est susciter l’intérêt de la part de personnes qui pourraient dans une dimension purement touristique venir découvrir le lieu », explique le recteur de Notre-Dame-du-Laus. « Nous sommes convaincus qu’une démarche de foi peut naitre, se développer, s’approfondir, par la découverte d’un lieu ou par la beauté d’un monument » précise le père Ludovic frère.
Côté financement, le Diocèse pourrait s’appuyer sur une partie des ventes du petit séminaire de Saint-Louis au conseil Général des Hautes-Alpes, pour une somme de 7 millions d’euros. Le diocèse n’exclu pas de faire appel également à du mécénat.
