“Sauvons nos rivières”. La moitié des zones humides a disparu en 30 ans alerte-elle. Sont menacés plus particulièrement les adous : il s'agit de ruisseaux issus de résurgences de nappes phréatiques, caractérisés par un débit et une température constante tout au long de l'année explique, Vincent Duru, directeur de la fédération de pêche des Alpes de Haute-Provence.
"On considère que sur la plupart des cours d'eau, 60 à 70% de la richesse d'un cours d'eau est liée à son chevelu, soit les petits cours d'eau affluents. On a donc tout intérêt à ce que les adous aillent bien." V. Duru