Alpes de Haute-Provence - La
CGT Cheminots
veut peser pour une gestion publique du train des Pignes. Pour l’instant, la ligne des Chemins de Fer
de Provence qui relie Nice à Digne-les-Bains est gérée, via une Délégation de Service Public (DSP), par
Veolia-Transdev. L’année prochaine, le 30 juin 2013, cette DSP arrivera à son
terme.
La région Provence-Alpes-Côte-D’azur, compétente dans ce domaine, doit se prononcer sur les suites à donner à la gestion de la ligne. Très clairement, la CGT souhaite un retour dans le giron public. Alain Degrange, délégué du personnel CGT, a déclaré à la radio Alpes 1 que « le retour à la gestion publique permettra de répondre aux attentes des usagers et également de faire évoluer » leur propre statut. Il a notamment soutenu que « les questions de sécurité » étaient « primordiales » et qu’on ne pouvait « pas imaginer une gestion où les salariés serait mis en concurrence entre eux ».
Le chargé du personnel du syndicat prône « une réelle harmonie et une cohérence de l’entreprise ». Et si l’intéressé assure que les élus locaux étaient « complètements concernés » et qu’il était impératif « qu’ils prennent conscience des enjeux », Alain Degrange n’a pas omis de rappeler que c’était l’argent public qui était utilisé et par conséquent « autant qu’il soit utilisé le mieux possible ».
Le syndicat CGT compte poursuivre son rôle de lobby en rencontrant les conseillers régionaux PACA. Ces derniers ont déjà rencontré Jean-Yves Petit, vice-président du conseil régional en charge des transports.
La région Provence-Alpes-Côte-D’azur, compétente dans ce domaine, doit se prononcer sur les suites à donner à la gestion de la ligne. Très clairement, la CGT souhaite un retour dans le giron public. Alain Degrange, délégué du personnel CGT, a déclaré à la radio Alpes 1 que « le retour à la gestion publique permettra de répondre aux attentes des usagers et également de faire évoluer » leur propre statut. Il a notamment soutenu que « les questions de sécurité » étaient « primordiales » et qu’on ne pouvait « pas imaginer une gestion où les salariés serait mis en concurrence entre eux ».
Le chargé du personnel du syndicat prône « une réelle harmonie et une cohérence de l’entreprise ». Et si l’intéressé assure que les élus locaux étaient « complètements concernés » et qu’il était impératif « qu’ils prennent conscience des enjeux », Alain Degrange n’a pas omis de rappeler que c’était l’argent public qui était utilisé et par conséquent « autant qu’il soit utilisé le mieux possible ».
Le syndicat CGT compte poursuivre son rôle de lobby en rencontrant les conseillers régionaux PACA. Ces derniers ont déjà rencontré Jean-Yves Petit, vice-président du conseil régional en charge des transports.