Hautes-Alpes – Des études d’impacts environnementales ont été lancées à l’Epine (190 habitants) dans le Buëch, pour la construction sur des terrains communaux d’un parc photovoltaïque pour une superficie de 40 hectares. La puissance théorique de ce parc est de 24 mégawatts-crêtes (MWc), ce qui correspond à la consommation moyenne de 50.000 personnes (hors chauffage).
Le porteur du projet n’est autre que « Solairedirect », premier opérateur français dédié à la production d’électricité solaire. Le groupe, qui possède actuellement 32 parcs en France, en Afrique du Sud, au Chili et en Inde, exploite déjà cinq centrales solaires dans les Alpes de Haute-Provence à Esparron, aux Mées et à Sisteron. Solairedirect totalise une vingtaine de projet à travers le monde.
« Aujourd’hui, le solaire n’est pas mort dans les Alpes du Sud. Le solaire est l’énergie la moins chère de France, en ce qui concerne les nouvelles capacités de production. Le solaire dans la région Provence-Alpes-Côte-D’azur (PACA) est 40% moins chère que le nucléaire », défend Thierry Lepercq, président directeur général de Solairedirect, interrogé par la radio Alpes 1. « Notre défi est de proposer une ressource aux utilisateurs locaux, pour limiter la hausse des factures énergétiques à l’avenir », ajoute-il.
« Aujourd’hui, le solaire n’est pas mort dans les Alpes du Sud. Le solaire est l’énergie la moins chère de France, en ce qui concerne les nouvelles capacités de production. Le solaire dans la région Provence-Alpes-Côte-D’azur (PACA) est 40% moins chère que le nucléaire », défend Thierry Lepercq, président directeur général de Solairedirect, interrogé par la radio Alpes 1. « Notre défi est de proposer une ressource aux utilisateurs locaux, pour limiter la hausse des factures énergétiques à l’avenir », ajoute-il.
Le conseil municipal de l’Epine a accordé l’autorisation de lancer les toutes premières études environnementales, paysagères et hydrauliques. Ces études vont être conduites jusqu’en 2015. « Nous allons missionner des experts. L’étude écologique sera lancée dans un premier temps. Les écologues vont passer aux différentes saisons de l’année pour identifier les enjeux environnementaux », explique Laurent Para, chef de projets chez Solairedirect.
Après 18 mois d’études, Solairedirect pourra éventuellement déposer un permis de construire en mairie et qui sera ensuite examiné par la préfecture des Hautes-Alpes. Le premier coup de pioche n’est pas prévu avant 2017. « L’intérêt d’avoir un parc photovoltaïque pour les petites communes est de trouver des ressources financières qui se font de plus en plus rare », a déclaré à la radio Alpes 1 André Aubéric, maire de l’Epine.
Après 18 mois d’études, Solairedirect pourra éventuellement déposer un permis de construire en mairie et qui sera ensuite examiné par la préfecture des Hautes-Alpes. Le premier coup de pioche n’est pas prévu avant 2017. « L’intérêt d’avoir un parc photovoltaïque pour les petites communes est de trouver des ressources financières qui se font de plus en plus rare », a déclaré à la radio Alpes 1 André Aubéric, maire de l’Epine.
