« La sécurisation de cet itinéraire nécessitera des travaux d’une certaine ampleur et surtout des études relativement poussées. Compte tenu de la fréquentation du sentier, on ne peut pas se permettre d’envoyer les gens s’il y a des risques importants de chutes de pierres ou de glissements de terrain. C’est la sécurisation de cet itinéraire qui la plus difficile à prévoir et à gérer », a expliqué à Alpes 1 Daniel Briotet.
De nouvelles visites sur les lieux devraient avoir lieu dans les prochains jours. « On en est encore au stade où il faut que l’on étudie de façon précise ce qu’il y a lieu de faire. Sachant que vu la météo annoncée pour ce weekend et pour les jours à venir et la pluviosité qui va avec, on n’est pas à l’abri qu’il y ait d’autres évolutions du terrain », a-t-il conclu.