L’autre souci concerne la situation
exceptionnelle du bâtiment. L’opposition souhaitait sur ce dossier que la ville
exerce son droit de préemption explique Philippe Cézanne : « Nous sommes partis du principe que ce
bâtiment est situé dans un secteur sauvegardé qui non seulement relève des
bâtiments de France, mais aussi de l’UNESCO, par conséquent, il y a des
contraintes très sévères qui y sont liés. Cela nous amené à penser que la ville
était plus à même de proposer un dossier ».
A noter que, toujours selon Philippe Cézanne, membre du groupe d'opposition au sein conseil municpal, le maire Gérard Fromm, a indiqué qu’il n’exercerait pas ce droit de préemption car les projets des acquéreurs sont jugés « corrects ».