Hautes-Alpes - Le 15 novembre, c’est après cette
date que Karine Berger saura si elle est nommée co-porte-parole du PS ou non. Le
congrès de Toulouse, qui se déroulait ce week-end, ne nous a pas plus éclairé
sur le sujet. Toutefois, le pourcentage de chances de voir la députée des
Hautes-Alpes désignée co-porte-parole, reste élevé. Jean-Marc Ayrault avait
notamment évoqué son nom lors de la présentation de la motion défendue par le
duo Aubry-Ayrault : « Il y aura une équipe autour de laquelle on
va retrouver des représentants de toutes les sensibilités. Je pense à Karine
Berger, Olivier Faure
et David Assouline ».
Pour Bernard Jaussaud, conseiller général d’opposition et conseiller régional il y a même « 99 chances sur 100 pour que Karine Berger devienne le numéro 4 du Parti Socialiste en France ». En tout cas, l’intéressée ne s’enflamme pas : « Tant que les choses ne sont pas faites, c’est important de laisser la nouvelle équipe se constituer tranquillement », confie karine Berger. « Evidemment, c’est très flatteur d’être considéré par notre Premier ministre comme faisant parti des gens qui peuvent intégrer l’équipe nationale, rajoute la députée des Hautes-Alpes. Le problème pour moi, c’est d’être là où je serai le plus utile ».
Pour Bernard Jaussaud, conseiller général d’opposition et conseiller régional il y a même « 99 chances sur 100 pour que Karine Berger devienne le numéro 4 du Parti Socialiste en France ». En tout cas, l’intéressée ne s’enflamme pas : « Tant que les choses ne sont pas faites, c’est important de laisser la nouvelle équipe se constituer tranquillement », confie karine Berger. « Evidemment, c’est très flatteur d’être considéré par notre Premier ministre comme faisant parti des gens qui peuvent intégrer l’équipe nationale, rajoute la députée des Hautes-Alpes. Le problème pour moi, c’est d’être là où je serai le plus utile ».