Alpes de Haute-Provence - Le maire de Château-Arnoux-Saint-Auban persiste et
signe, il ne veut pas d’un site de stockage de déchets non-dangereux sur sa
commune. Dans un arrêté préfectoral daté de 2008, le projet a été déclaré
d’utilité publique. Il prévoit que les ordures de 163 communes, ce qui représente
environ 100 000 habitants, soient
stocké au lieu dit « Les Parrines ».
Depuis quatre ans, Patrick Martellini se bat pour que ce projet ne voit pas le jour sur sa commune : « On veut me l’imposer car c’est un choix qui avait été fait avant que j’arrive à la tête de la collectivité et c’est un choix qui ne correspond pas à la politique que je veux mettre en place sur mon territoire. Je crois qu’il faut mettre en perspective ce que ce projet peut apporter et ce qu’il peut faire perdre. Et aujourd’hui, la balance bascule largement du côté des pertes. Un centre comme celui là, à l’endroit où il est prévu, met totalement en péril la politique d’avenir que je souhaite mettre en place. Non seulement sur la commune de Château-Arnoux-Saint-Auban, mais également au sein de la communauté de communes dans son entier. Par ailleurs, deux procédures sont en cours au tribunal. L’une contre l’Etat, l’autre contre le Conseil Général des Alpes de Haute-Provence. Je suis prêt à aller encore plus loin, y compris à manifester avec nombre de mes concitoyens qui partage le même esprit. Ce centre ne doit pas sortir à Château-Arnoux-Saint-Auban ».
Depuis quatre ans, Patrick Martellini se bat pour que ce projet ne voit pas le jour sur sa commune : « On veut me l’imposer car c’est un choix qui avait été fait avant que j’arrive à la tête de la collectivité et c’est un choix qui ne correspond pas à la politique que je veux mettre en place sur mon territoire. Je crois qu’il faut mettre en perspective ce que ce projet peut apporter et ce qu’il peut faire perdre. Et aujourd’hui, la balance bascule largement du côté des pertes. Un centre comme celui là, à l’endroit où il est prévu, met totalement en péril la politique d’avenir que je souhaite mettre en place. Non seulement sur la commune de Château-Arnoux-Saint-Auban, mais également au sein de la communauté de communes dans son entier. Par ailleurs, deux procédures sont en cours au tribunal. L’une contre l’Etat, l’autre contre le Conseil Général des Alpes de Haute-Provence. Je suis prêt à aller encore plus loin, y compris à manifester avec nombre de mes concitoyens qui partage le même esprit. Ce centre ne doit pas sortir à Château-Arnoux-Saint-Auban ».
