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Alpes du Sud : présidentielle, UDI et Parti Radical avec E.Macron pour le second tour

POLITIQUE / « Tout autre choix de cadres ou d’élus UDI et Parti Radical demeure ainsi une position strictement personnelle », précise notamment le président du Parti Radical des Alpes de Haute-Provence, Henri Couillot.

 

- Alpes du Sud -

 

Les présidents de l’UDI et du Parti Radical, Jean-Christophe Lagarde et  Laurent Hennart,  se sont prononcés en faveur du vote pour Emmanuel Macron lors du second tour de l’élection présidentielle du dimanche 7 Mai prochain, un choix déjà validé par la présidente de l’UDI dans les Hautes-Alpes et  aujourd’hui approuvé par la fédération des Alpes de Haute-Provence.

C’est sur les réseaux sociaux que, jeudi 27 avril, la présidente de l’UDI 05, vice-présidente de la région PACA, Chantal Eyméoud avait clairement affiché son choix pour le second tour.

 

 

Dans les Alpes de Haute-Provence, c’est Henri Couillot, président du Parti Radical et administrateur provisoire de l’UDI, qui annonce partager « ce choix sans aucune hésitation. » Précisant que « cela ne vaut adhésion au programme du candidat dont les différences avec nos propres arguments ont nourri le débat du premier tour, mais il défend les mêmes principes pour la République que les Radicaux. »

Pas de blanc-seing pour les législatives non plus : « nos formations partagent avec Les Républicains une plateforme de majorité et soutiendront nos candidats comme ceux investis par LR et restés dans le respect de ces principes républicains. Ceci exclut donc tout appel à voter FN. »

 

« Lorsque l’on a choisi d’être élu, ne pas prendre position…ce n’est pas une position ! »

Le président du Parti Radical qui rappelle également que « tout autre choix de cadres ou d’élus UDI et Parti Radical demeure ainsi une position strictement personnelle qu’il leur appartient de justifier individuellement. »

Quant à la tentation de l’abstention, Henri Couillot prévient : « hier élus par les suffrages de leurs concitoyens, les appeler aujourd’hui à s’abstenir lorsque les résultats électoraux, si décevants soient-ils, ne leurs conviendraient plus … Ils prennent le risque que ces mêmes électeurs s’en souviennent plus tard. »