Le Tribunal Administratif a notamment jugé que les tirs de loups, à l'occasion de battues aux gibiers n'étaient pas conformes au protocole loup. L'Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) avait saisi le tribunal administratif le 4 octobre pour contester deux arrêtés (du 27 septembre et du 2 octobre) pris par la Préfecture des Alpes de Haute-Provence.
Lors de l'audience, le préfet avait indiqué qu'avec une population de 60 loups dans le département, 14 pouvaient être abattus, soit 24% de la population comme le prévoit la réglementation. Or la préfecture ne donnait l'ordre de n'en tirer qu'un seul.