La classe de 1ère Littéraire a joué la pièce de théâtre Don Juan de Molière, ce vendredi. Une pièce au programme scolaire de l’année. « On se révolte avec une pièce qu’on aurait du étudier avec lui, mais qu’on a étudié avec quelqu’un d’autre ». Marine craint, en effet, de ne pas être prête pour passer le baccalauréat et ses épreuves anticipées de français, en juin prochain : « Sur 8 séquences, on en a vu que 2. On a à peine commencé la dissertation ».
Du côté de l’établissement, le proviseur Frédéric Guyon tient à rassurer et se félicite des mesures rapides mises en place. « J’ai un professeur qui a été absent. Nos autorités académiques ont été très à l’écoute. Les moyens ont été déclenchés en deux vagues. Une première qui a permis le remplacement immédiat de ce professeur absent et une enveloppe a été demandée, pour le retard pris par le changement de professeur et la déstabilisation des élèves », a-t-il défendu sur Alpes 1. « Il faut qu’on puisse amener les élèves à l’examen avec le contenu nécessaire et les compétences nécessaires. » 2h de français et de littérature ont été ajoutées à l’emploi du temps des lycéens chaque semaine, soit une vingtaine d’heures en plus avant le Bac de juin prochain.
