Hautes-Alpes - Dire
« Oui » aux bonnes décisions du gouvernement et « Non » aux
mauvaises : voilà la fonction du Centre pour la France, bannière centriste
des législatives, selon Thierry Pajot. Le candidat du mouvement pour la 1ère
circonscription des Hautes-Alpes aux législatives était l’invité d’Alpes 1 Live
ce mercredi. « Nous ne sommes pas
affiliés à François Hollande, nous sommes libres et indépendants »,
a-t-il ajouté. Seul point faible pour le candidat : « le manque de lisibilité qui est en train de
se consolider avec ma candidature ». Car l’objectif, comme l’annonce
Thierry Pajot, n’est pas de gagner la course à la députation, mais bien de
représenter un contre-pouvoir au gouvernement de gauche, « je serais donc présent à d’autres élections,
qu’elle soit municipale pourquoi pas dans ma commune de Manteyer, ou encore
cantonale ».
Pour sa priorité en tant que candidat, « c’est un conseil départemental de la jeunesse avec des délégués lycéens et étudiants de nos IUT afin qu’ils nous donnent leurs avis de ce qu’ils souhaitent dans notre département ».
Le sujet A 51 : selon Thierry Pajot, il faudrait un conciliabule entre tous les parties « car toutes les options n’ont pas été envisagées. L’A51 s’arrêterait à la fin des virages dangereux entre la Mure et Corps, améliorerait la circulation du Col Bayard avec pourquoi pas un tunnel ».
Quant au tout tourisme, c’est un « Non » pour le candidat du Centre pour la France, il faut entrer dans l’ère de la réindustrialisation avec des aides, comme l’absence de charges pendant deux ans.
