Alpes de Haute-Provence - Le parrainage
controversé de Jean-Claude Castel pour le Front National continue de susciter
la polémique. Ce dernier a apporté sa signature mais pas son soutien à Marine
Le Pen pour la course à l’Elysée. Le maire de Corbières, Jean-Claude Castel, est officiellement
le candidat UMP pour la deuxième circonscription.
Mais ce qui pourrait être un dérapage suscite des vocations. Notamment Bruno Vaginay, le maire d’Uvernet-Fours, Bruno Vaginay. "Je m'étais timidement positionné pour les investitures et je n'avais pas fait un forcing effréné parce que je considérais que pour des raisons personnelles, je n'étais pas prêt. Si les choses évoluent rapidement, ça pourrait remettre en cause ma décision. Jean-Claude Castel a commis une erreur politique. Quand on est investi par un parti qui rejette catégoriquement les idées du FN, je ne vois pas comment on pouvait parrainer Marine Le Pen", a t-il déclaré sur notre antenne.
« Aucune décision n’a été prise dans un sens ou dans l’autre », a confié à la radio Alpes 1, un cadre de l’UMP à Paris. Jean Claude Castel s’était défendu d’avoir parrainé le Front Nationale en expliquant qu’il s’agissait d’un soutient à la démocratie et non pas d’un soutient aux idées.
Mais ce qui pourrait être un dérapage suscite des vocations. Notamment Bruno Vaginay, le maire d’Uvernet-Fours, Bruno Vaginay. "Je m'étais timidement positionné pour les investitures et je n'avais pas fait un forcing effréné parce que je considérais que pour des raisons personnelles, je n'étais pas prêt. Si les choses évoluent rapidement, ça pourrait remettre en cause ma décision. Jean-Claude Castel a commis une erreur politique. Quand on est investi par un parti qui rejette catégoriquement les idées du FN, je ne vois pas comment on pouvait parrainer Marine Le Pen", a t-il déclaré sur notre antenne.
« Aucune décision n’a été prise dans un sens ou dans l’autre », a confié à la radio Alpes 1, un cadre de l’UMP à Paris. Jean Claude Castel s’était défendu d’avoir parrainé le Front Nationale en expliquant qu’il s’agissait d’un soutient à la démocratie et non pas d’un soutient aux idées.