Alpes du Sud - La CGT dans les Alpes du Sud mobilisée, à l’heure du sommet social. Un sommet organisé par Matignon et qui doit permettre de dégager des pistes pour en finir avec la flambée du chômage, mais également d’évoquer d’autres dossiers comme le financement de la protection sociale, la compétitivité des entreprises françaises ou encore la taxe sur les transactions financières. Syndicats et patronat sont invités autour de la table. Mais pour la CGT, il faut être vigilant face au « chantage sur les droits sociaux ». Un rassemblement est prévu à 12h devant la préfecture des Hautes-Alpes, suivi d’un pique nique. Dans les Alpes de Haute-Provence, un document de quatre pages sera distribué à Manosque.
Mais pour les syndicats FO et CFDT, ce sommet social est un coup de pub. Et les organisations n’appellent pas au rassemblement. Pour Patrick Prost, représentant de la CFDT dans les Hautes-Alpes, « la réponse unanime a été de ne pas répondre favorablement. Dans la période, c’est compliqué de mobiliser les salariés. Et on préfère défendre nos idées devant le gouvernement plutôt que de descendre dans les rues. De plus, certaines orientations sont différentes entre la CGT et la CFDT. Et se voir ensemble dans la rue était une forme d’hypocrisie », a-t-il expliqué à la radio Alpes 1.
Mais pour les syndicats FO et CFDT, ce sommet social est un coup de pub. Et les organisations n’appellent pas au rassemblement. Pour Patrick Prost, représentant de la CFDT dans les Hautes-Alpes, « la réponse unanime a été de ne pas répondre favorablement. Dans la période, c’est compliqué de mobiliser les salariés. Et on préfère défendre nos idées devant le gouvernement plutôt que de descendre dans les rues. De plus, certaines orientations sont différentes entre la CGT et la CFDT. Et se voir ensemble dans la rue était une forme d’hypocrisie », a-t-il expliqué à la radio Alpes 1.
