Les missions de ce comité seront ainsi de s’occuper du train de nuit. Mais pas que : également des relations entre les Hautes-Alpes et Paris, l’amélioration des réservations et de la régularité des horaires, une réflexion sur les problèmes de relations entre Réseau Ferré de France et la SNCF. Et enfin, améliorer l’existant et faire de ce train un outil touristique. « Lorsque les parisiens montent dans le train, il faut qu’ils aient l’impression d’être en vacances. Cela demande donc plus de confort et de services », comme le précise Pierre Bernard-Reymond.
A noter que le tourisme représente 80 % de l’économie du département. 94 % des touristes viennent dans les Hautes-Alpes en voiture.