Concernant la ville de Briançon, Monique Estachy a regretté la lenteur d’action pour remplir les anciens locaux militaires du quartier Berwick : « Je me réjouis déjà qu’on mette une pépinière d’entreprises, mais qu’on mette également d’autres services. Si on avait délocalisé certains services de la municipalité l’année dernière, on aurait peut être pas eu la surprise de voir tous les réseaux d’eau claquer. » Monique Estachy, conseillère municipal d’opposition à Briançon croit beaucoup au développement de la ville grâce aux quartiers Berwick et Colaud : « Aujourd’hui, la ville basse n’a pas de cœur de ville. Pour cela, il faut un super urbaniste, un super architecte et voir Briançon d’en haut pour faire quelque chose de magnifique. » Mais la situation économique de la ville est grave, faisant de Briançon l’une des communes les plus endettées de France. Briançon qui va bénéficier d’une enveloppe d’1,5 millions d’euros de la part du département et de la région pour des travaux d’urgence. Un plan de redynamisation va également être signé, normalement avant la fin de l’année, a annoncé sur Alpes 1 Monique Estachy.
Votre ville : LES ORRES | Changer de ville
Retraite politique en 2014 pour Monique Estachy
« Ma délégation au Conseil général se termine en 2014. Je ne me représenterai pas aux élections municipales. De même que je ne me présenterai pas aux élections territoriales »
Hautes-Alpes - Monique Estachy prendra sa
retraite politique en 2014, à la fin de ses différents mandats. La conseillère
générale de Briançon Sud et conseillère municipale d’opposition à la ville de
Briançon était l’invité d’Alpes 1 Live lundi
midi. Monique Estachy souhaite cependant s’impliquer jusqu’au bout dans sa
mission. Elle est en charge de la cohésion sociale et de la coopération
intergénérationnelle au sein du Conseil général. « Ma
délégation au Conseil général se termine en 2014. Je ne me représenterai pas
aux élections municipales. De même que je ne me présenterai pas aux élections
territoriales », nous a-t-elle indiqué sur Alpes 1. Pour les élections
législatives de 2012, Monique Estachy veut « un
candidat fort » à droite. Les investitures n’ont toujours pas eu lieu
pour l’UMP.