Alpes de Haute-Provence - Cent ex-salariés ou sous-traitants
de l’usine chimique Arkéma à Saint-Auban devant le conseil des Prud’hommes ce
vendredi matin. Des salariés qui ont travaillé pour l’entreprise entre 1962
et 1994 et qui peuvent prétendre au « préjudice d’anxiété ». C’est que
souhaite voir reconnaitre le Comité Amiante Prévenir et Réparer (CAPER 04) qui
accompagne ces employés. Ces salariés font suite à centautres déjà passés en
conciliation le 14 octobre dernier. Une conciliation tombée en échec. Au total,
sur les 2 000 travailleurs potentiellement concernés, seuls 400 vont demander
réparation. Ils passeront en conciliation jusqu’en janvier prochain. La
première audience du tribunal des Prud’hommes est attendue pour le 13 avril
2012. A noter qu’en juillet dernier, six ex-salariés de la
filiale Friedlander avaient obtenu
9 000 euros d’indemnités chacun de la part d’Arkéma.
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Cent personnes devant les Prud'Hommes pour préjudice d'anxiété
Ce sont des ex-salariés ou sous-traitants de l'usine chimique Arkéma à Saint-Auban