Hautes-Alpes - La
candidate à la candidature, au poste de députée de la 1ère
circonscription des Hautes-Alpes, répond déjà aux critiques de ses opposants.
Karine Berger, 1ère secrétaire fédérale du PS dans les Hautes-Alpes,
était l'invité d'Alpes 1 lundi midi. Certains lui reproche d’être trop éloignée du
département, celle qui soutien François Hollande et a travaillé sur les
questions économiques durant les primaires. Elle s’est défendue sur Alpes 1 :
« Durant 3 ans et demi, j’ai porté
toute mon énergie à tenter d’organiser politiquement la Gauche dans les
Hautes-Alpes ». Karine Berger qui a dénoncé le fait que « les services publics aient fermé uns
à uns dans le département. »
La 1ère secrétaire fédérale du Parti socialiste dans les Hautes-Alpes tentera donc de prendre la place d’Henriette Martinez, qui ne se représentera pas au poste de députée. Elle sera supplée par Christine Nivou, maire de Veynes et Conseillère Régionale PACA. « Notre ligne politique sera une double ligne. Une ligne nationale. Il y a un certain nombre de lois qu’il va falloir voter pour remettre le pays à l’endroit. Et puis la deuxième ligne, c’est la raison territoriale. Pour moi, Christine Nivou est l’élue emblématique de la représentativité locale de notre territoire. »
Karine Berger qui s’est exprimé sur le désenclavement du département des Hautes-Alpes : « On ne va pas rester 10 ans de plus avec l’incapacité de rejoindre Grenoble en voiture. Allons sur l’aménagement des routes nationales. Il faut mettre sur la table l'argent, pour faire des 2x2 voies sur le chemin qui va de Gap à Grenoble. » Le débat du désenclavement qui a amené à la question sur les relations avec Europe-Ecologie-Les-Verts. « Nous nous militons avec les Verts sur la percée d’un tunnel sous le Montgenèvre. On fera le maximum pour développer le transport ferroviaire, mais il est hors de question de continuer à laisser nos routes s’effondrer par endroit ».
Au sujet du nucléaire et du débat national, Karine Berger a indiqué « sur ce coup là, François Hollande a été d’une clarté exemplaire. On ne peut pas rester à ce degré de dépendance de l’énergie nucléaire, parce que c’est une énergie dangereuse. Donc, on va réduire la part du nucléaire, mais cette évolution ne signifie à aucun moment qu’on perde notre autonomie énergétique. »
Karine Berger qui a tenu à faire passer un message fort pour 2012 : « Le vrai sujet politique de la Gauche, c’est que François Hollande soit président de la République en mai 2012. Parce que si ce n’est pas François Hollande, ce sera Nicolas Sarkozy et ça c’est hors de question », a-t-elle indiqué, se disant prête mettre toute son énergie dans la campagne présidentielle.
La 1ère secrétaire fédérale du Parti socialiste dans les Hautes-Alpes tentera donc de prendre la place d’Henriette Martinez, qui ne se représentera pas au poste de députée. Elle sera supplée par Christine Nivou, maire de Veynes et Conseillère Régionale PACA. « Notre ligne politique sera une double ligne. Une ligne nationale. Il y a un certain nombre de lois qu’il va falloir voter pour remettre le pays à l’endroit. Et puis la deuxième ligne, c’est la raison territoriale. Pour moi, Christine Nivou est l’élue emblématique de la représentativité locale de notre territoire. »
Karine Berger qui s’est exprimé sur le désenclavement du département des Hautes-Alpes : « On ne va pas rester 10 ans de plus avec l’incapacité de rejoindre Grenoble en voiture. Allons sur l’aménagement des routes nationales. Il faut mettre sur la table l'argent, pour faire des 2x2 voies sur le chemin qui va de Gap à Grenoble. » Le débat du désenclavement qui a amené à la question sur les relations avec Europe-Ecologie-Les-Verts. « Nous nous militons avec les Verts sur la percée d’un tunnel sous le Montgenèvre. On fera le maximum pour développer le transport ferroviaire, mais il est hors de question de continuer à laisser nos routes s’effondrer par endroit ».
Au sujet du nucléaire et du débat national, Karine Berger a indiqué « sur ce coup là, François Hollande a été d’une clarté exemplaire. On ne peut pas rester à ce degré de dépendance de l’énergie nucléaire, parce que c’est une énergie dangereuse. Donc, on va réduire la part du nucléaire, mais cette évolution ne signifie à aucun moment qu’on perde notre autonomie énergétique. »
Karine Berger qui a tenu à faire passer un message fort pour 2012 : « Le vrai sujet politique de la Gauche, c’est que François Hollande soit président de la République en mai 2012. Parce que si ce n’est pas François Hollande, ce sera Nicolas Sarkozy et ça c’est hors de question », a-t-elle indiqué, se disant prête mettre toute son énergie dans la campagne présidentielle.
