Alpes du Sud - En justice, deux dossiers seront notamment abordés
devant le tribunal correctionnel de Gap jeudi. Une affaire
d’injure présumée entre personnalités politiques, et un différent qui s’était
terminé par un coup de carabine à Gap il y a 5 ans.
Concernant le dossier politique, ce sont en fait
les suites judiciaires des déchirements à l’UMP lors des dernières élections
cantonales. Trois figures de la droite départementale seront appelées à la
barre du tribunal correctionnel de Gap ce jeudi matin. Il s’agit de plaintes
pour « injure publique » déposées
par la députée Henriette
Martinez, son suppléant Jean Cointe, et visant le 1er vice-président du conseil général des Hautes-Alpes, Jean-Michel Arnaud. Ce
dernier est cité directement à comparaitre pour une injure présumée qui
auraient été prononcée le dimanche 27 mars, au soir du second tour des
élections cantonales, dans les locaux du conseil général. Rappelons que les
jours précédents, la tension avait été à son comble à droite, suite au duel
entre le candidat UMP sortant Jean-Michel Arnaud et un UMP dissident sur le
canton de Tallard. Ce jeudi matin, il s’agira d’une audience technique, le délibéré
sera prononcé ultérieurement.
Concernant l’autre affaire, il s’agit d’un tir de carabine 22 Long Rifle. Les faits reprochés remontent à mai 2006, à Gap. A la suite d’un différent, une rixe éclate, lors de laquelle un homme d’une vingtaine d’années est blessé par un coup de feu au bras. L’auteur présumé du tir, un homme de 28 ans originaire des Alpes-Maritimes. Sous le coup d’un mandat d’arrêt, il avait été condamné par défaut, c’est-à-dire en son absence, à 2 ans de prison ferme. Il a depuis fait opposition au jugement, d’où ce nouveau procès.
Concernant l’autre affaire, il s’agit d’un tir de carabine 22 Long Rifle. Les faits reprochés remontent à mai 2006, à Gap. A la suite d’un différent, une rixe éclate, lors de laquelle un homme d’une vingtaine d’années est blessé par un coup de feu au bras. L’auteur présumé du tir, un homme de 28 ans originaire des Alpes-Maritimes. Sous le coup d’un mandat d’arrêt, il avait été condamné par défaut, c’est-à-dire en son absence, à 2 ans de prison ferme. Il a depuis fait opposition au jugement, d’où ce nouveau procès.
Photo Alpes 1