Hautes-Alpes - Le suspect mis en cause dans
l’accident mortel de Bonnieux, dans le Vaucluse, a été mis en examen par un
juge d’instruction mercredi soir, et incarcéré au centre de
détention du Pontet-Avignon. Cet
homme âgé de 30 ans, originaire du Vaucluse, est soupçonné d’avoir causé
accidentellement la mort, dimanche, d’un cycliste gapençais de 47 ans.
A l’issu de la prolongation de sa garde à vue mercredi soir, le jeune vauclusien a été déféré devant le Procureur de la République d’Avignon. Le magistrat a décidé d’ouvrir une information judiciaire pour homicide involontaire aggravé par deux circonstances, à savoir le délit de fuite et l’alcoolémie. Selon nos informations, le suspect reconnait avoir emprunté la route nationale 100 qui relie Avignon à Apte, le soir de l’accident, sans pour autant avoir heurté un cycliste.
Les gendarmes dès le début de l’enquête ont privilégié la thèse du délit de fuite. Ils avaient retrouvé dimanche, sur les lieux du drame, des débris de pare-choc d’une Peugeot 307. Selon une source proche de l’enquête, il s’agirait bien du véhicule du suspect. Les dégâts occasionnés sur cette voiture pourraient concorder avec les constatations faites par les techniciens en investigations criminelles. L’autopsie de la victime réalisée lundi à l’Institut médico-légal de Marseille, a révélé « de multiples fractures et lésions qui ont entrainé le décès brutal de la victime, suite à un choc important ». Les investigations sont désormais menées par un juge d’instruction d’Avignon.
A l’issu de la prolongation de sa garde à vue mercredi soir, le jeune vauclusien a été déféré devant le Procureur de la République d’Avignon. Le magistrat a décidé d’ouvrir une information judiciaire pour homicide involontaire aggravé par deux circonstances, à savoir le délit de fuite et l’alcoolémie. Selon nos informations, le suspect reconnait avoir emprunté la route nationale 100 qui relie Avignon à Apte, le soir de l’accident, sans pour autant avoir heurté un cycliste.
Les gendarmes dès le début de l’enquête ont privilégié la thèse du délit de fuite. Ils avaient retrouvé dimanche, sur les lieux du drame, des débris de pare-choc d’une Peugeot 307. Selon une source proche de l’enquête, il s’agirait bien du véhicule du suspect. Les dégâts occasionnés sur cette voiture pourraient concorder avec les constatations faites par les techniciens en investigations criminelles. L’autopsie de la victime réalisée lundi à l’Institut médico-légal de Marseille, a révélé « de multiples fractures et lésions qui ont entrainé le décès brutal de la victime, suite à un choc important ». Les investigations sont désormais menées par un juge d’instruction d’Avignon.