Alpes du Sud - L’A51, au cœur d’un courrier
envoyé mercredi par le Ministre de l’écologie, Jean-Louis Borloo, à la
députée des Hautes-Alpes Henriette Martinez. Le tronçon manquant entre
Grenoble et Sisteron n’est toujours pas à l’ordre du jour. Les raisons sont
écologiques et financières : « Les
études de trafics tendent à montrer que la fréquentation et les recettes de
péages, qui pourraient en résulter, ne permettront de couvrir ni ces coûts, ni
au-delà, la gestion de l’aménagement. » Pour Henriette Martinez, il
faut passer à autre chose : « Si
l’abandon de l’A51 est confirmé en fin d’année, je ne pratiquerai pas la
politique jusqu’au boutiste de la terre brûlée. Il en va de l’avenir des
Hautes-Alpes », a-t-elle indiquée par communiqué. De son côté, Pierre-Bernard
Reymond a rencontré Michèle Papalardo, secrétaire générale du Comité national du développement
durable, pour venter le projet.
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Jean-Louis Borloo justifie l'abandon de l'A51 entre Sisteron et Grenoble
« Les études de trafics tendent à montrer que la fréquentation et les recettes de péages, ne permettront de couvrir ni ces coûts, ni la gestion de l’aménagement. »