Un médecin d’Embrun mis en
examen, depuis mai 2009, pour non assistance à personne en péril. La justice
reproche à ce docteur de ne pas être intervenu auprès d’une patiente sous
prétexte que son médecin traitant n’était pas embrunais. La victime de 63 ans
qui se plaignait de douleurs à l’estomac est décédée deux heures après que son
mari a donné l’alerte.
Depuis 4 ans, les expertises et contres expertises se multiplient. La défense a demandé une série d’actes d’instructions supplémentaires dont une autopsie. « J’ai fait mon travail en toute conscience et en toute honnêteté, faisons confiance en la justice, il n’y a eu aucune erreur médicale » se défend le docteur mis en cause. Et de sources sûres, la commission d’éthique et de déontologie nationale de l’ordre des médecins n’a retenu, en 2006, lors des faits, aucune faute à l’encontre du médecin embrunais. Actuellement l’instruction se poursuit.
La défense a demandé une série d’actes d’instructions supplémentaires dont l’exhumation du corps et une autopsie. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble rendra son arrêt le 19 mai prochain. A l’issue de cette décision, la juge d’instruction pourrait renvoyer ou non le médecin devant le tribunal correctionnel de Gap (Hautes-Alpes). Un procès pourrait voir le jour d’ici 6 mois.
Depuis 4 ans, les expertises et contres expertises se multiplient. La défense a demandé une série d’actes d’instructions supplémentaires dont une autopsie. « J’ai fait mon travail en toute conscience et en toute honnêteté, faisons confiance en la justice, il n’y a eu aucune erreur médicale » se défend le docteur mis en cause. Et de sources sûres, la commission d’éthique et de déontologie nationale de l’ordre des médecins n’a retenu, en 2006, lors des faits, aucune faute à l’encontre du médecin embrunais. Actuellement l’instruction se poursuit.
La défense a demandé une série d’actes d’instructions supplémentaires dont l’exhumation du corps et une autopsie. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble rendra son arrêt le 19 mai prochain. A l’issue de cette décision, la juge d’instruction pourrait renvoyer ou non le médecin devant le tribunal correctionnel de Gap (Hautes-Alpes). Un procès pourrait voir le jour d’ici 6 mois.