Jean-Louis Bianco recherche la solidarité des élus face aux problèmes d’Arkéma. Le président du Conseil Général des Alpes-de-Haute-Provence était l’invité d’Alpes 1 ce jeudi midi.
Il est revenu sur les sujets qui concernent son département. En réponse aux difficultés d’Arkéma, il a déclaré qu’« il y a un moment où trop c’est trop ». Il juge les attitudes de l’Elysée « inacceptables » et réclame la venue sur place de Christian Estrosi, le ministre chargé de l’Industrie, pour entendre salariés et élus.
Concernant la taxe carbone à venir, elle est pour lui « punitive » surtout pour les départements ruraux. « Nous traquons le gaspillage en voulant mettre en place une taxe positive ». Même si le développement des transports collectifs ne suffirait pas, il demande tout de même l’aide de l’Etat.
