Hautes-Alpes : le petit train du bonheur à Briançon

TOURISME / Avec 100 à 130 clients par jour en moyenne, le petit train entame sa troisième saison estivale à l’initiative de la municipalité

 

- Hautes-Alpes -

 

Le petit train du bonheur à Briançon. Depuis le 2 juillet et jusqu’au 28 août, ce nouveau moyen de locomotion touristique arpente les rues de la Cité Vauban en reliant notamment la Ville Haute et la Ville Basse. Au total, neuf tours sont proposés aux clients tous les jours, de 9h45 à 22h10 avec 10 arrêts pour 10 sites remarquables de la commune. Rendez-vous au Prorel et tout le monde à bord du « Petit Train ».

 

Un moyen de découvrir Briançon en toute simplicité

De la porte d’Embrun au Parc de la Schappe en passant par la Collégiale, cette visite de 40 minutes est accompagnée d’un audioguide dans les haut-parleurs qui ne sont, pour l’instant, qu’en français mais cela devrait bientôt changer. Au niveau du pont d’Asfeld, une pause de 10 min est effectuée pour profiter du magnifique point de vue avec le chauffeur qui sort de son rôle pour offrir quelques explications sur cet ouvrage. Ludique mais surtout accessible, ce train simplifie, à coup sûr, la découverte de Briançon selon Jérôme Fine, président de la société « Le Petit Train des Alpes ».

 

« Vous pouvez descendre à n’importe quel moment et avec le même ticket, récupérer le train dans la journée et continuer votre visite », Jérôme Fine

 

Avec 100 à 130 clients par jour en moyenne, le petit train entame sa troisième saison estivale à l’initiative de la municipalité. En plus des touristes, il permet également aux centres de loisirs et aux EHPAD de proposer une belle sortie à ses adhérents. De 7 à 77 ans, le succès semble au rendez-vous vu la bonne humeur des différents passagers.

© Thibaut Durand / Alpes 1

 

À partir de 13 ans, le ticket est à 6 euros et à 4 euros pour les 7-12 ans. Il sera gratuit pour tous les enfants avant 6 ans. Les billets peuvent être achetés en ligne mais aussi auprès des bureaux d’accueil de l’Office de Tourisme Serre Chevalier Briançon ou tout simplement, sur place.

Le reportage de Thibaut Durand :

T.Durand/C.Lourenço