Hautes-Alpes : les Diables Rouges de Briançon affronteront Marseille en playoffs

SPORTS / Les hommes de Claude Devèze ont terminé cette saison régulière avec une victoire contre les dauphins du classement, Cergy-Pontoise

 

- Hautes-Alpes - 

 

En Division 1, les Diables Rouges de Briançon terminent cette saison régulière avec la manière ! Ils affrontaient ce samedi sur la patinoire de l'Aren'Ice les dauphins du classement, Cergy-Pontoise. Et c'est une victoire qu'ils ramènent, 2 à 1. Les hommes de Claude Devèze terminent donc à la 5ème position, et affronteront les 4èmes, Marseille. Deux équipes qui se sont rencontrées par deux fois cette saison, et qui s'annulent : les Marseillais avaient défait les Briançonnais le 27 octobre 6 à 3, avant que les Haut-Alpins ne prennent une revanche, 3 à 1, le 19 janvier. Des playoffs qui se disputeront à partir du 9 mars et qui opposeront également Brest contre Dunkerque, Neuilly-sur-Marne contre Caen, et Cergy-Pontoise contre Cholet. Chaque série se joue au meilleur des cinq matches. 

 

Des Briançonnais performants dans les buts

Une saison régulière qui se termine avec des points de satisfaction pour Briançon. Une équipe dont deux de ses joueurs se positionnent dans le Top 3 des points : Alexandre Demers, 41 points, et Francis Drolet, 39 points. Un tableau complété à la 4ème place par le Marseillais Deniss Baskatovs et ses 37 points. Le Letton que l'on retrouve 1er dans les assistances (27 assistances), suivi de Francis Drolet (26 assistances) et Alexandre Demers qui clôt le Top 5 (22 assistances). Dans les buts, c'est aussi Alexandre Demers qui est présent en 4ème avec 19 occasions trouvées dans les filets. Mais devant lui, c'est un joueur de Marseille René Jarolin. Enfin, là où il faudra porter une attention toute particulière afin de ne pas laisser des occasions de supériorité numérique aux adversaires, ce sont les pénalités. Kyle Campbell, le Briançonnais, enregistre 79 minutes lors de la saison régulière, le plaçant 4ème joueur le plus sifflé par le corps arbitral. Mais ce qui est quand même loin du Marseillais, Eric Springer, et 93 minutes passées en prison. 

 

C. Michard