Hautes-Alpes : quand la conseillère départementale A.Poyau accuse Mgr Di Falco

POLITIQUE / L'évêque du diocèse de Gap et d'Embrun a été une nouvelle fois accusé en septembre dernier d’abus sexuel, la conseillère départementale (DVG) de Briançon prend aujourd’hui une position radicale envers lui

 

- Hautes-Alpes -

Alors qu’un plaignant avait relancé, en septembre dernier, une affaire d’abus sexuel à l’encontre de l’évêque de Gap et d’Embrun, Monseigneur Di Falco, c’est aujourd’hui la conseillère départementale (DVG) du canton de Briançon 2, Aurélie Poyau qui dénonce  « le vrai visage » de l’homme d’église.

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« Monseigneur Di Falco emplâtré par le Ravi »

S’appuyant sur un article du Ravi, mensuel d’enquête et de satires en région PACA, Aurélie Poyau considère donc que la messe est dite concernant Monseigneur Di Falco à quelques jours de sa retraite et signe un tweet sans équivoque sur son positionnement malgré l’absence de jugement à un classement sans suite de l’affaire pour prescription.

 

 

« le vrai visage d'une gauche maladivement anticléricale », Arnaud Murgia

Ainsi, le président de Les Républicains 05, et conseiller départemental de Briançon 1, dénonce de son côté cette prise de position : « Mgr Di Falco a le droit, comme tout le monde, à la présomption d'innocence à défaut d'au moins votre respect », indique celui qui est également candidat aux législatives de 2017.

S’appuyant sur un précédent tweet d’Aurélie Poyau, saluant la mémoire de Fidèle Castro après sa disparition,  Arnaud Murgia dénonce « le vrai visage d'une gauche maladivement anticléricale qui encense le dictateur Fidel Castro et ose encore donner des leçons de morale. »