Hautes-Alpes – Suite à l’élection du président du conseil départemental dans les Hautes-Alpes et l’imbroglio politique à droite, (voir notre article ici), les premières réactions n’auront pas tardé à venir.
Le chef de cabinet adjoint de François Hollande en tête :
Egalement candidat remplaçant aux côtés du binôme Graglia-Lange-Mallet (PS) sur Gap 3 (perdu à la faveur du binôme de droite – Ndlr-) , Christophe Pierrel, même loin des Hautes-Alpes durant la semaine, reste une des forces vives de la gauche sur le territoire. Et rappelle au bon souvenir de Roger Didier que son choix de se présenter à la présidence du département était synonyme de démission au poste de maire de Gap, en cas de victoire :
« En se présentant, Roger Didier a adressé un message très clair aux électeurs de la ville de Gap : ce n'est pas leur intérêt qui l'anime, mais bien son ambition personnelle. Un an après avoir sollicité la confiance des Gapençais, Roger Didier voulait donc faire le choix de la trahison plutôt que de l'action pour sa ville (…) Depuis dimanche, la droite départementale nous a donné à voir un triste spectacle : les turpitudes d'une majorité plus intéressée par les postes à occuper que par l'intérêt général ne sont pas de nature à réconcilier les citoyens avec leurs élus ». Avant de conclure : « Se moquer ainsi des électeurs n'a qu'un temps qui ne pourra pas durer ».
