Hautes-Alpes - « Une adhésion ne donne pas une investiture », les propos d’Henriette Martinez, la présidente de l’UMP sur les Hautes-Alpes. Elle était l’invité de Midi Pétante ce mercredi sur Alpes 1. Henriette Martinez qui est revenu sur le cas du canton de Briançon 1, qui va de la partie Ouest de Briançon à Serre-Chevalier et Villard d’Arène.
En effet, l’UMP avait deux candidats : Arnaud Murgia et Xavier Cret, conseiller général sortant et tout nouvel adhérent UMP. « Arnaud Murgia est UMP depuis longtemps […] Lors d’un comité départemental, Xavier Cret arrive. Je m’étonne de le voir. Il m’informe qu’il vient d’adhérer et il me dépose sa candidature en même temps. » Après examen du comité départemental de l’UMP 05, l’investiture est donnée à Arnaud Murgia, mais Xavier Cret refuse de se retirer. « Arnaud Murgia fait sa campagne. Je pense qu’il va gagner. Ce que je souhaite, c’est qu’au deuxième tour Xavier Cret se désiste, de façon républicaine. »
Sur le canton d’Embrun, où l’UMP avait donné l’investiture à Richard Siri et Chantal Eyméoud, le bureau politique devrai investir d’autres candidats après leur désistement. Un bureau politique de l’UMP 05 prévu ce vendredi.
La présidente de l'UMP 05 qui s'est également positionnée dans le débat qui oppose les cadres de l'UMP et du résultat des élections législatives partielles dans le Doubs. Pour elle, pas de Front Républicain, mais un "ni-ni" assumé. "Plus on entrera dans cette idée du Front Républicain, plus on fera le jeu du FN et de cette affirmation d'UMPS (...) Cette stratégie du Front Républicain apporte des voix au FN et je ne veux pas leur donner des voix supplémentaires, même si le FN l'emporte ça ne changera rien, le PS gouvernera toujours (...) Par contre en cas de présidentielles, si le PS devrait affronter le FN au deuxième tour, aucun doute, j’appellerai à voter PS".
La présidente de l'UMP 05 qui s'est également positionnée dans le débat qui oppose les cadres de l'UMP et du résultat des élections législatives partielles dans le Doubs. Pour elle, pas de Front Républicain, mais un "ni-ni" assumé. "Plus on entrera dans cette idée du Front Républicain, plus on fera le jeu du FN et de cette affirmation d'UMPS (...) Cette stratégie du Front Républicain apporte des voix au FN et je ne veux pas leur donner des voix supplémentaires, même si le FN l'emporte ça ne changera rien, le PS gouvernera toujours (...) Par contre en cas de présidentielles, si le PS devrait affronter le FN au deuxième tour, aucun doute, j’appellerai à voter PS".
