Selon nos informations, l’individu, qui est connu pour des dégradations, a été interpellé et placé en garde à vue pendant 26 heures, avant d’être remis en liberté. Toujours selon nos informations, l’individu a nié sa participation à des actes antisémites. En marge de la manifestation du mardi 22 juillet, un groupe d’une vingtaine de jeunes encagoulés avait alors lancé des projectiles contre une patrouille de police et une femme handicapée mentale et physique, âgée de 49 ans, et son éducatrice avaient été violemment prises à parti, sous prétexte que la quadragénaire possédait à son domicile un drapeau israélien, visible depuis sa terrasse.
Au lendemain de la manifestation à Gap, une enquête judiciaire avant été ouverte pour « violence aggravée » par le parquet et confiée à la Brigade de Sûreté Urbaine (BSU) du commissariat Gap.