« Si la dette par habitant est encore relativement élevé, la politique de désendettement, conduite à partir de 2008, a permis d’atteindre une capacité de désendettement d’environ six années », indique notamment la Chambre Régionale des Comptes dans son rapport. Autrement dit, il faut aujourd’hui 5 ans et demi à la ville pour rembourser sa dette contre 13 ans auparavant. « C’est ma plus grand fierté », a insisté Roger Didier, avant de préciser que l’équipe municipale présente en mars prochain, après les municipales « trouverait une situation confortable ».
Au sein de l’opposition, Jean-Claude Eyraud, le leader du Groupe GAUCHE, s’est dit « satisfait de cette situation ». Même si des désaccords persistent sur les méthodes utilisées pour y arriver. Il a notamment évoqué la gestion du personnel. Même son de cloche pour le socialiste, Jean-Pierre Jaubert. Pour lui, « la ville peut mieux faire » dans ce domaine. « Ce sera l’un des débats de la prochaine campagne des municipales », a-t-il même prévenu.