« Vincent de Carrière ne veut pas nous payer parce qu’il est ex représentant de la SARL « Tic Tac ». Du côté des assurances, personne ne paiera. La SARL « Tic Tac » n’a pas d’argent. Que va-t-on faire ? On va être obligé d’envoyer Vincent de Carrière au tribunal encore une fois et repayer un avocat. On va dépenser plus d’argent en avocat », explique sur Alpes 1 Christian Taix, représentant des anciens salariés du Final.
Vendredi dernier, les anciens salariés se sont rendus devant le tribunal pour réclamer désormais une partie des 50 000 euros issues de la vente de la boîte de nuit. Une somme qui devrait partir aux impôts. « On intervient car nous sommes des prioritaires par rapport aux impôts. Nous réclamons à ce que ces 50 000 euros, qui paieraient déjà une grosse partie de nos indemnités, soient détournés des impôts pour qu’ils nous reviennent à nous », poursuit Christian Taix. Le dossier des 50 000 euros a été renvoyé au 8 novembre prochain.
A noter que depuis la liquidation judiciaire en avril 2010, le Final a été repris par un nouveau propriétaire.