- Hautes-Alpes -
L'histoire d'amour de Gap avec le Tour de France n'est désormais plus à contredire. Une histoire qui commence en 1931 avec la première victoire de celui que l'on appelait la « locomotive » belge, Jef Demuysère. Depuis, la capitale douce n’a eu de cesse d'être soit ville d’arrivée, soit la rampe de lancement de la Grande Boucle vers les plus hauts sommets, ceux de l'Alpe d'Huez ou bien encore de Briançon et aujourd'hui de la route vers Barcelonnette.
Quelques noms qui ont brillé à Gap
Comme le souligne la ville de Gap, des attaquants ont pu se révéler sur les routes menant vers la capitale douce comme Jean-François Bernard en 1986 ou Pierrick Fédrigo en 2006. Certains s'y sont imposés avec le maillot de champion du monde déjà sur le dos comme Thor Hushovd en 2011 ou Rui Costa en 2013. D'autres ont préféré « parier » en solitaire comme l’Espagnol Ruben Plaza arrivé en 2015 avec une trentaine de secondes d’avance sur Peter Sagan. En 2019, Matteo Trentin, champion d’Europe, avait enlevé sa troisième victoire d’étape. La ville qui avait aussi accueilli le Tour de France en plein Covid, c’était en 2020 : Gap avait alors porté chance à Adam Yates qui s’était emparé de la victoire et du maillot jaune à Privas.
Qui dit ville d’accueil dit perturbations
Forcément, l’accueil d’un évènement comme le Tour de France amène aussi son lot de perturbations sur vos routes. Retrouvez ici le détail complet des axes qui seront fermés à la circulation.
C. Cava Michard
