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Alpes de Haute-Provence : des chatons comme s’il en pleuvait au refuge animalier de la Vallée de l’Ubaye

23 Août 2018

SOCIÉTÉ / Des familles d’accueil et des adoptants sont recherchés

- Alpes de Haute-Provence -

Des chatons comme s’il en pleuvait ! Le refuge animalier de la Vallée de l’Ubaye recherche des familles d’accueils et des adoptants. L’association AUDACCE, Association Ubayenne de Défense des Animaux dont les Chats, les Chiens et les Equidés, gère le fonctionnement de ce refuge pour animaux, à Saint-Pons, depuis 2006. Un refuge dédié aux chiens. Toutefois, l’association nourrit, stérilise les chats « sauvages » de la vallée et s’occupe de les placer dans des familles d’accueil. Elle note une recrudescence des chats abandonnés. « Nos campagnes de stérilisation ont fait effet heureusement, au printemps tout s’est bien passé, mais là comme l’année dernière à cette époque, les chatons commencent à affluer. On en a 11 en familles d’accueil, en attente d’adoption. Nous avons quelques jeunes chattes adultes qui ont entre un et deux ans, qui sont aussi en familles d’accueil. On a une vieille chatte siamoise, qu’on a trouvé il y a peu de temps, qui est affaiblie et qui a besoin d’une famille. De plus, une ferme va être vendue dans laquelle la propriétaire s’est laissé déborder et il y a une cinquantaine de chats » souligne sur Alpes 1, Michèle Javelle, présidente de l’association AUDACCE.

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Pour les chiens, des dons de croquettes sont les bienvenus

Le refuge avait lancé un appel aux dons de croquettes, il y a quelques jours; son stock étant au plus bas. Un appel entendu, mais il est toujours possible de donner. Le refuge compte actuellement une trentaine de chiens. « On a eu un mois de juillet mouvementé. Nous avons accueilli des chiots atteints d’une maladie grave, donc le refuge a été en quarantaine pendant un mois. D’habitude on a des gens qui viennent faire des dons en nature, du coup comme le refuge était fermé ces dons n’ont pas pas pu se faire. On a, de plus, un nombre important de chiens. On peut donc continuer à donner car on en a besoin, ça permet d’avoir une vision sur le long terme » poursuit Michèle Javelle.