Hautes-Alpes - Le décès de Claudine Portron est accidentel. Grâce
aux différentes analyses topographiques mais également aux traces de sang
retrouvées dans l’appartement de la victime, les Techniciens en Identification
Criminelle (TIC) de la gendarmerie ont pu retracer les événements de cette nuit
du samedi 3 au 4 décembre. Le décès est survenu entre 20h30 et 7h00 du matin. Le
corps de Claudine Portron, 61 ans, avait été découvert le dimanche 4 décembre
2011, dans son appartement de Molines-en-Queyras, résidence « Les
Mélèzes ». Claudine Portron a été victime de deux chutes accidentelles.
« La première plaie à la tête correspond à la première chute, une chute en avant qui est survenue sur le balcon extérieur de l’appartement », a confié à la radio Alpes 1 une source proche de l’enquête. « La victime qui vraisemblablement n’a pas réalisé ce qui lui arrivait, a fait une seconde chute au sol, en arrière cette fois-ci. Sa tête a alors heurté un encadrement de fenêtre », a également indiqué cette même source. « Nous n’avons pas de suspect et pas de mobile. Même si la thèse criminelle n’est pas totalement écartée, nous privilégions sérieusement la piste accidentelle. Le corps a été découvert au pied du lit dans la chambre à coucher. Deux chutes distinctes sont à l’origine des deux plaies. Des résultats confirment également que la victime suivait un traitement médicamenteux », a expliqué le substitut du procureur la République de Gap, Sébastien Hauger.
L’autopsie pratiquée le 6 décembre dernier à l’Institut Médicolégal de Grenoble, n’avait pas permis de déterminer avec certitude les causes du décès. Les auditions des membres de la famille installés en Île-de-France mais également en région Poitou-Charentes avaient permis rapidement d’écarter la thèse du suicide. Des perquisitions avaient été menées dans certaines habitations du village pour vérifier ou écarter la piste criminelle. Des examens complémentaires ont été ordonnés par le magistrat du parquet de Gap en charge du dossier.
« La première plaie à la tête correspond à la première chute, une chute en avant qui est survenue sur le balcon extérieur de l’appartement », a confié à la radio Alpes 1 une source proche de l’enquête. « La victime qui vraisemblablement n’a pas réalisé ce qui lui arrivait, a fait une seconde chute au sol, en arrière cette fois-ci. Sa tête a alors heurté un encadrement de fenêtre », a également indiqué cette même source. « Nous n’avons pas de suspect et pas de mobile. Même si la thèse criminelle n’est pas totalement écartée, nous privilégions sérieusement la piste accidentelle. Le corps a été découvert au pied du lit dans la chambre à coucher. Deux chutes distinctes sont à l’origine des deux plaies. Des résultats confirment également que la victime suivait un traitement médicamenteux », a expliqué le substitut du procureur la République de Gap, Sébastien Hauger.
L’autopsie pratiquée le 6 décembre dernier à l’Institut Médicolégal de Grenoble, n’avait pas permis de déterminer avec certitude les causes du décès. Les auditions des membres de la famille installés en Île-de-France mais également en région Poitou-Charentes avaient permis rapidement d’écarter la thèse du suicide. Des perquisitions avaient été menées dans certaines habitations du village pour vérifier ou écarter la piste criminelle. Des examens complémentaires ont été ordonnés par le magistrat du parquet de Gap en charge du dossier.