Hautes-Alpes - Dans le dossier Portron, la piste accidentelle est privilégiée par
les enquêteurs. Le corps de Claudine Portron, 62
ans, avait été découvert le dimanche 4 décembre, dans son appartement de
Molines-en-Queyras, résidence « Les Mélèzes ». Une enquête de
flagrance pour « homicide volontaire » a été ouverte, a-t-on appris du
parquet de Gap.
L’autopsie pratiquée le 6 décembre dernier, à l’Institut Médicolégal de Grenoble, n’avait pas permis de déterminer avec certitude les causes du décès. Les Techniciens en Identification Criminelle (TIC) de la gendarmerie avait procédé aux premières investigations. « Le corps de la sexagénaire avait été découvert dans sa chambre avec une plaie à la tête », a confirmé une source proche du dossier. Des perquisitions ont été menées dans certaines habitations du village pour vérifier ou écarter la piste criminelle. Des examens complémentaires avaient été dernièrement ordonnés par le magistrat en charge du dossier.
« La semaine dernière nous avons procédé aux auditions des membres de la famille installés en Île-de-France mais également en région Poitou-Charentes », a indiqué à la radio Alpes 1 le substitut du procureur la République de Gap, Sébastien Hauger. « Les éléments dont nous disposons nous permettent aujourd’hui d’écarter la thèse du suicide », a expliqué ce dernier. Cependant, « la piste criminelle n’est néanmoins pas écartée. Pour l’heure, nous n’avons pas de suspect et pas de mobile », a également précisé le magistrat, Sébastien Hauger.
Les résultats des analyses complémentaires confirment que « la victime suivait un traitement médicamenteux », a indiqué une source proche de l’enquête. Les investigations se poursuivent. Le dossier est toujours dans les mains du magistrat du parquet de Gap et non pas confié au pôle de l’instruction criminelle du Tribunal de Grande Instance de Grenoble.
L’autopsie pratiquée le 6 décembre dernier, à l’Institut Médicolégal de Grenoble, n’avait pas permis de déterminer avec certitude les causes du décès. Les Techniciens en Identification Criminelle (TIC) de la gendarmerie avait procédé aux premières investigations. « Le corps de la sexagénaire avait été découvert dans sa chambre avec une plaie à la tête », a confirmé une source proche du dossier. Des perquisitions ont été menées dans certaines habitations du village pour vérifier ou écarter la piste criminelle. Des examens complémentaires avaient été dernièrement ordonnés par le magistrat en charge du dossier.
« La semaine dernière nous avons procédé aux auditions des membres de la famille installés en Île-de-France mais également en région Poitou-Charentes », a indiqué à la radio Alpes 1 le substitut du procureur la République de Gap, Sébastien Hauger. « Les éléments dont nous disposons nous permettent aujourd’hui d’écarter la thèse du suicide », a expliqué ce dernier. Cependant, « la piste criminelle n’est néanmoins pas écartée. Pour l’heure, nous n’avons pas de suspect et pas de mobile », a également précisé le magistrat, Sébastien Hauger.
Les résultats des analyses complémentaires confirment que « la victime suivait un traitement médicamenteux », a indiqué une source proche de l’enquête. Les investigations se poursuivent. Le dossier est toujours dans les mains du magistrat du parquet de Gap et non pas confié au pôle de l’instruction criminelle du Tribunal de Grande Instance de Grenoble.