Hautes-Alpes - Henriette Martinez réagit au départ du sénateur Pierre Bernard-Reymond, qui a claqué ce lundi la porte du parti présidentiel. Même si cela n'est « pas une surprise », selon elle. Interrogée par la radio Alpes 1, la députée et
présidente de la Fédération UMP
des Hautes-Alpes dit « regretter
cette décision, d’autant plus qu’il est élu parce qu’il était UMP, avec les voix
des grands électeurs de la droite et du centre de ce département. »
Selon elle, « la politique est faite d’adaptation ». Et le but des mois à venir est de « soutenir Nicolas Sarkozy plutôt qu’un candidat socialiste » à la présidentielle.
« Moi aussi j’ai défendu l’autoroute, mais je comprends les raisons (de l'abandon du chaînon manquant, NDLR) dans le contexte où nous sommes. Il vaut mieux prendre ce que l’on nous donne, plutôt que rien. »
Selon elle, « la politique est faite d’adaptation ». Et le but des mois à venir est de « soutenir Nicolas Sarkozy plutôt qu’un candidat socialiste » à la présidentielle.
« Moi aussi j’ai défendu l’autoroute, mais je comprends les raisons (de l'abandon du chaînon manquant, NDLR) dans le contexte où nous sommes. Il vaut mieux prendre ce que l’on nous donne, plutôt que rien. »
Photo Alpes 1.