Pour Jean-Marc Passeron, au final la note risque d’être salée pour Gap.
De son côté, Jean-Claude Eyraud présage un déficit de fonctionnement à hauteur de 500 000 euros par an pour la patinoire, contre 150 000 euros aujourd’hui. Pour lui, il serait plus sage de patienter jusqu’à l’avènement d’une communauté d’agglomération à Gap.
Sur l’antenne « d’Alpes 1 », le président des Rapaces de Gap, Georges Obninsky, a lui salué « un très bel outil » et s’est satisfait du projet.
Prochaine étape, vendredi soir au conseil municipal de Gap. A l’ordre du jour : le vote de la signature du marché de conception-réalisation des travaux de restructuration et d’extension de la patinoire Brown-Ferrand. Une séance qui s’annonce houleuse…