- Hautes-Alpes -

L’ Embrunman, un mythe pour tous les triathlètes. Un départ dans le noir à 6h du matin pour nager 3.8km dans le lac de Serre-Ponçon, parcourir ensuite 180km de vélo digne d’une étape du Tour de France avec le col d’Izoard à gravir, puis finir par un marathon accidenté autour d’Embrun.

« J’ai pris beaucoup de plaisir, et plein les yeux »

Pour certains, cette épreuve paraît insurmontable, mais d’autres ont décidé d’en faire leur terrain de jeu. C’est le cas de Charlotte Morel, seconde l’an dernier, malgré une première participation à un format long. Séduite par sa première participation, la Varoise  a décidé de revenir. Face à un tel défi, la préparation reste la clé de la réussite. Pour performer sur l’un des Ironman les plus durs du Monde, Charlotte Morel a effectué un long stage sur Embrun. L’occasion de connaître le parcours et de profiter du cadre haut-alpin.

Rattraper les deux minutes qui lui manquaient

Embrun, une course emblématique qui ne cesse d’attirer des athlètes toujours plus reconnus sur le circuit, ce sera le cas chez les féminines. En 2016, il a manqué 2 minutes à Charlotte Morel. Nul doute que cette année elle sera l’athlète à surveiller. Rendez-vous le 15 août à 6 heures du matin pour le point d’orgue la 34ème édition.