Originaire du quartier des Toulouzannes à Briançon, il avait eu le malheur de voir son téléphone être confisqué par les forces de l'ordre à l'été 2024. A l'intérieur, les enquêteurs avaient découvert des vidéos de violences qu'il prenait un malin plaisir à filmer. Certaines mettent en scène des mineurs, frappés ou menacés.
Trois victimes ont été identifiées, mais elles ont toutes refusé de porter plainte.
Signe pour le tribunal gapençais que le suspect fait régner la terreur aux Toulouzannes. Ou bien qu'au quartier, on ne balance pas.
Cela n'a pas aidé le Briançonnais au casier judiciaire déjà rempli. Il a écopé de 8 mois de prison avec sursis et a désormais l'interdiction de se rendre aux Toulouzannes.