Hautes-Alpes : JO d’hiver, une candidature qui n’est pas « antinomique avec la préservation de l’environnement » pour l’ADDET

Hautes-Alpes : JO d’hiver, une candidature qui n’est pas « antinomique avec la préservation de l’environnement » pour l’ADDET
© T. Durand/ Alpes 1

TOURISME / ÉCONOMIE / L’agence de développement y voit la possibilité « de retombées économiques importantes »

 

- Hautes-Alpes -

« Des retombées économiques importantes » pour les Hautes-Alpes. C’est ce qu’espère l’Agence de Développement du territoire si les Alpes Françaises obtiennent les Jeux Olympiques d’hiver de 2030. Le 24 juillet prochain, le Comité International Olympique doit tenir sa 142ème séance plénière. C’est lors de cette séance que le futur hôte des JO de 2030 sera désigné. Pour l’heure, l’avenir semble tout tracé pour les Alpes Françaises. Alors ce n’est pas pour rien, si cette année, l’ADDET a choisi pour thème les JO à l’occasion de son Assemblée Générale Annuelle. Elle se tenait ce lundi au Cosmo de Briançon. Et pour Yvan Chaix, le directeur de l’Agence, cette candidature n’est pas antinomique avec la préservation de l’environnement :

 


« La stratégie c’est de trouver un point d’équilibre entre une nature d’exception qui est la richesse des Hautes-Alpes, sa préservation mais en même temps sa valorisation. On a besoin de grands événements pour faire vivre ce département », Y. Chaix

 

 

Notez toutefois la dissolution de l’Assemblée Nationale pourrait impacter la candidature française. L’État Français avait, en novembre dernier, annonçait qu’il apporterait la garantie financière de l’opération. Une garantie qui devra être apportée par le nouveau 1er ministre entre le 8 et le 24 juillet prochain.

T. Durand / A. Vallauri