Alpes de Haute-Provence : M-A Baudoui-Maurel, nommée déléguée nationale aux professions libérales

POLITIQUE / L’élue d’opposition de Digne-les-Bains, n’en a pas fini avec la politique et confirme son engagement avec Debout La France.

 

- Alpes de Haute-Provence -

 

L’ambition affichée de Debout La France : les Européennes et incarner l'alternative à Macron, en 2022. Quant à Marie-Anne Baudoui-Maurel, si certains la pensait séchée d’années d’échecs électoraux, le conseil national de DLF, qui s’est tenu samedi dernier à Lyon, semble prouver le contraire. Ainsi, l’ancienne vice-présidente nationale de syndicat professionnel se voit nommée déléguée nationale DLF aux professions libérales.

Élue d’opposition de Digne-les-Bains et de l’agglomération dignoise, elle fut candidate aux élections législatives de 2012 (sous l’étiquette DVD à la défaveur d’une investiture UMP), aux élections municipales 2014 et aux sénatoriales 2014 (sur la liste FN) , aux élections départementales 2015 et législatives de 2017 (sur la liste Debout la France). Marie-Anne Baudoui-Maurel poursuit son chemin avec Debout La France afin « d'apporter humblement  ma petite pierre à l'édifice d'un programme de bon sens, de justice sociale, d'une France maîtresse de son destin dans une Europe des nations ».

 

La « récompense de mon implication dans mon travail d'élue comme au sein du parti »

Affichant Debout la France comme « le seul parti politique d'opposition a enregistré une croissance dans les sondages d'opinion, une hausse importante du nombre de militants de nombreux ralliements d'élus », l’élue dignoise constate que DLF est « sans conteste, un parti politique où l'implication et le travail de ses militants est reconnue. » Côté adhérents, un léger flou subsiste : si le président du parti, Nicolas Dupont-Aignan, se félicitait le 3 février de l’arrivée de « 4.600 nouveaux adhérents » depuis la présidentielle de 2017, Marie-Anne Baudoui-Maurel en comptabilise « 5.000 nouveaux adhérents »…

Mais au-delà des chiffres, l’élue souhaite pour le département lancer « une campagne d'affichage et tracts  de lutte contre la limitation de vitesse à 80 km/h, la création de la plateforme des « Amoureux de la France », mettre en place la rencontre avec les acteurs économiques et les représentants professionnels... » Quant à une prochaine candidature à de futures échéances électorales, pour le moment il est trop tôt pour en parler.