« Plus il y aura de demande en bio et plus il y aura d’agriculteurs qui s’installeront en bio. De plus, il faut savoir qu’une installation ou une reconversion en agriculture biologique, cela demande un certain temps. On ne peut pas développer la pratique immédiatement sur des terrains de culture traditionnelle. Il faut attendre un ou deux ans, le temps que la terre se régénère », a expliqué à la radio Alpes 1, André Laurens, conseiller général délégué à l’agriculture.
Un budget de 600 000 euros a été attribué par le département dans le cadre de cette opération. Les Alpes de Haute-Provence figurent à la 5e des départements de France en matière d’agriculture bio avec 12 % des terres concernées.