Revue de presse : à la "Une", ce mardi

Revue de presse : à la "Une", ce mardi

Haute-Provence Info a réalisé un long entretien avec François Hollande lors de sa venue dans les Alpes de Haute-Provence.

 

- Alpes du Sud -

 

Guérir de certaines maladies par le sport, c’est possible. Le Dauphiné Libéré parle, ce matin, de sport-santé. Le quotidien a pris l’exemple de deux hauts-alpine. La première s’appelle Muriel. Depuis son enfance, elle est asthmatique. Son quotidien : souffle court et nuit blanche. Pour en finir, elle a décidé d’aller chez son médecin qui lui a prescrit du sport sur son ordonnance. Depuis, elle réussit à combattre sa maladie. Elle s’est mise à la marche nordique et au yoga. Tout comme cette autre Champsaurine. Après le décès de son compagnon, elle tombe dans une grave dépression. Ses proches la conduisent alors chez le médecin. Depuis, elle a repris goût à la vie, aux voyages et est redevenue autonome.  

 

Haute-Provence info s’est longuement entretenu avec François Hollande lors de sa venue dans les Alpes de Haute-Provence, il y a quelques jours. L’ancien chef de l’État se confesse un peu. La déchéance de la nationalité ? : « Je n’ai pas apprécier ces débats qui ont apporté de la confusion », dit-il. Une mesure dont il est fier ? Le plan climat : « l’acte le plus important qui a été acquis durant le quinquennat », martèle l’ancien président. Et ce qui l’a le plus marqué : les attentats de Charlie, du Bataclan et ceux de Nice, notamment, bien sûr. Et comme à son habitude, François Hollande a délivré une saillie goûteuse à l’encontre du Parti socialiste, mais à l’image de son caractère : « Ceux qui sont allés plus à droite, je ne sais pas où ils finiront, et ceux qui sont allés plus à gauche, je sais où ils seront… nulle part ». Et oui, la synthèse sera difficile à réaliser en cas de retour.

 

De son côté, La Provence revient sur la décision de 6.000 maires de relever les taux de la taxe d’habitation que le gouvernement veut supprimer pour tous les Français d’ici à 2021. Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des comptes publics a défendu le fait d’avoir rendu public la liste des maires qui ont fait ce choix. « Un devoir de clarté », dit l’ancien sarkozyste. En fait, pour lui, il n’y a pas vraiment de débat à avoir. « Les taux d’impôts qui sont votés lors des conseils municipaux sont des délibérations publiques », tranche-t-il. En attendant, l’Association des maires de France lui réclame toujours des excuses.