Revue de presse : à la "Une", ce jeudi

Revue de presse : à la "Une", ce jeudi

Fin de la saison à l'hippodrome d'Oraison.

 

- Alpes du Sud - 

 

Le Dauphiné Libéré revient, ce matin, sur la dernière course de paris mutuel de l’année à l’hippodrome d’Oraison. Ce sera, ce samedi, à partir de 14 heures avec du trot. Une réunion qui marque la fin d’une saison compliquée, rappelle le journal. La course du 8 mais avait dû être annulée à cause d’une tempête qui avait détruit les équipements. Et puis, il y a eu aussi une autre course, un certain 14 juillet. Dans les tribunes, pas grand monde. Pourquoi ? Eh bien parce que c’était le fameux jour de la finale de Coupe du monde entre la France et la Croatie. Samedi, l’hippodrome espère donc faire le plein de spectateurs. L’hippodrome d’Oraison qui fêtera d’ailleurs l’année prochaine ses 120 ans et qui avait reçu la visite de Johnny Halliday et de Dalida. Les responsables sont donc à la recherche de photos… Avis aux auditeurs.

 

La Provence revient dans ses pages « France » sur le « numerus clausus » qui pourrait être supprimé dans les écoles de médecines. La limitation du nombre d’étudiants est jugée injustes par certains parlementaires. Le gouvernement pourrait faire des annonces dans ce sens, à l’occasion de la présentation de la réforme des systèmes de santé. Deux solutions s’offrent à lui : celle de laisser aux universités la possibilité de former autant de médecins qu’elle le souhaite, ou celle de définir un nombre de place minimal dans chaque région. Réponse, donc, le 18 septembre prochain.

 

Et enfin, l’hebdomadaire des Hautes-Alpes et de la Vallée de l’Ubaye Alpes et Midi revient sur le déplacement d’Édouard Philippe dans les Hautes-Alpes. Où il était venu parler de l’eau et de l’assainissement la semaine dernière. La suite on la connaît : 150.000 euros le déplacement. Mais le journal rappelle que le Premier ministre était venu sans bruit, dans le Champsaur pour passer quelques jours de vacances. Le maire de Saint-Bonnet-en-Champsaur et la suppléante du député, Joël Giraud, tenaient à respecter la tranquilité du chef du gouvernement mais ont quand même tenu à marquer le coup. Ils lui ont fait porter deux douzaines de tourtons. Edouard Philippe avait apprécié le geste discret et bienveillant indique l’hebdomadaire.