« Il y va non seulement de l’économie et de la vie de quelques 1 600 entreprises et 45 000 emplois générant 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires, mais aussi de la nécessité de prévenir tout rassemblement incontrôlé dangereux sur le plan sanitaire et sécuritaire, notamment d’une jeunesse confrontée à une situation inédite ». Invitant le gouvernement à dépasser les stéréotypes attachés à la profession qui a su lutter avec efficacité contre l’alcool au volant ou le tabagisme, les parlementaires appellent à la définition d’un protocole de réouverture urgent qui pourrait s’appliquer dans les conditions imposées aux bars et supprimer notamment les pistes de danse communes.