Hautes-Alpes : Paris-Barcelone en stop pour gagner un tour du monde

SPORTS / Objectif : rallier Paris à Barcelone en auto-stop et 5 étapes sur 6 jours, soit 1.500 kms à réaliser à la force du pouce.

 

- Hautes-Alpes -

 

Un voyage au tour du monde à gagner. Deux Haut-Alpins se lancent dans le défi Barcelona Express : rallier Paris à Barcelone en auto-stop et cinq étapes sur six jours, soit 1.500 kms à réaliser à la force du pouce.

 

 

 

Un événement au profit de l'association The International Tree Foundation (ITF) qui plante des arbres contre la déforestation en Afrique.

 

 

L’auto-stop, entre Paris et Barcelone, qui permet d’économiser plus de 400 tonnes de CO².

 

Un défi fun pour réaliser un rêve

Le Barcelona Express que vont tenter pour la deuxième année Anaïs Martin de Tallard et Vincent Mabire de La Bâtie-Neuve. Ces deux Haut-Alpins de 20 ans, l’une étudiante en communication et l’autre en histoire depuis deux ans à Lyon, sont des baroudeurs dans l’âme. « On a fait la côte Est de l’Australie en van. On est parti en Thaïlande où on a fait un road-trip en bus », explique Anaïs sur Alpes 1.

Le 4 juillet, ils partiront cette fois de Paris, direction Barcelone en Espagne et surtout en auto-stop. « C’est compliqué d’attirer les gens, surtout qu’on est 300 au même endroit », précise Vincent.

 

« On a mis à peu près 10 heures à faire Nancy-Mâcon », V. Mabire

 

Ce sera donc leur 2ème participation à Barcelona Express, malgré quelques déboires rencontrés en 2017. « On est resté à Nancy, bloqué, plus de quatre heures au soleil ». Ils mettront plus de 10 heures, pour faire 350 kms. Le but est pourtant d’arriver le plus vite possible à Barcelone. Il est cependant possible de gagner des minutes de bonifications, en gagnant des défis quotidiens. « Prendre une photo sur une moto, sur le capot d’une voiture de police. Se baigner dans la piscine privée de quelqu’un », ajoute Vincent Mabire.

Un événement fun, mais avec un rêve à la clé : un tour du monde à gagner. Pour Vincent, son souhait c’est d’aller dans « les pays froids : l’Alaska, le Canada, le Groënland », alors que pour Anaïs ce sont plutôt les pays chauds qui l’attirent : « l’Argentine, les Philippines. »

 

Soutenez ce duo haut-alpin

Avant leur départ, les deux globe-trotteurs cherchent des partenaires financiers pour les aider matériellement, ou aussi à payer les frais d’inscriptions de 250 euros. Les entreprises peuvent acheter des tickets à 25 euros, pour profiter de la médiatisation de l’événement.

Anaïs Martin de Tallard et Vincent Mabire de La Bâtie-Neuve qui sont aussi à la recherche de soutiens sur leur page d’équipe, pour obtenir des minutes d’avance dès le départ. Il suffit de cliquer en-dessous.

 

 

G. Piat