Hautes-Alpes - Victor Berenguel répond aux attaques, après que le Plan Local d'Urbanisme de sa commune Savines le Lac ait été attaqué en justice. En effet, une habitante en alternance Colette D. a déposé un recours devant le tribunal administratif de Marseille. Elle reproche une volonté d'urbanisation démesurée (voir article de ce jour : http://alpesdusud.alpes1.com/infos/infos-locales?view=info&id_news=26815).
Invité de jeudi midi dans Alpes 1 Live, le conseiller général et maire de Savines le Lac Victor Berenguel a répondu. Selon lui, l'ambition n'est pas démesurée mais elle répond à la volonté d'un territoire de se développer démographiquement et économiquement. "Savines le Lac, c'est aujourd'hui 1130 habitants. Notre objectif est de dépasser les 1500. Le territoire de la commune, c'est 2 241 hectares soit 73,5 % du territoire communal. Les agriculteurs représentent 673 hectares, soit 22,1 % du territoire communal. Notre zone d'habitation, c'est 134 hectares soit 4,4 % du territoire. il y a beaucoup de marge", explique t-il au micro Alpes 1.
Pour Victor Berenguel, ce recours semble déplacé : "Si finalement quelqu'un qui vient trois mois souhaite imposer ses désirs, cela me rappelle l'histoire des gens qui viennent dans un territoire magnifique. Puis s'aperçoivent que le paysan voisin a un coq qui chante, donc le paysan assume. Puis les cloches du village font du bruit, le curé est donc obligé d'arrêter".
Invité de jeudi midi dans Alpes 1 Live, le conseiller général et maire de Savines le Lac Victor Berenguel a répondu. Selon lui, l'ambition n'est pas démesurée mais elle répond à la volonté d'un territoire de se développer démographiquement et économiquement. "Savines le Lac, c'est aujourd'hui 1130 habitants. Notre objectif est de dépasser les 1500. Le territoire de la commune, c'est 2 241 hectares soit 73,5 % du territoire communal. Les agriculteurs représentent 673 hectares, soit 22,1 % du territoire communal. Notre zone d'habitation, c'est 134 hectares soit 4,4 % du territoire. il y a beaucoup de marge", explique t-il au micro Alpes 1.
Pour Victor Berenguel, ce recours semble déplacé : "Si finalement quelqu'un qui vient trois mois souhaite imposer ses désirs, cela me rappelle l'histoire des gens qui viennent dans un territoire magnifique. Puis s'aperçoivent que le paysan voisin a un coq qui chante, donc le paysan assume. Puis les cloches du village font du bruit, le curé est donc obligé d'arrêter".