Le plus gros problème de ce report est le statut juridique des clubs. Parmi les clubs grandement pénalisés, les Diables Rouges de Briançon, récents Champions de France. « Quatre clubs vont être en SASP, Société Anonyme Sportive Professionnelle, c’est Grenoble, Rouen, Lyon et Briançon, il s’agira d’une société qui va payer des charges sociales, de la TVA, et des impôts. Dix autres clubs seront gérés par une association de loi 1901, il y a deux mondes économiques à l’opposé », explique le co-président briançonnais, Luc Rougny, qui menace la Fédération de revenir en association de loi 1901, « Si je me remets en association de loi 1901, sur un budget égal d’1,4 million, nous gagnerons entre 100 et 140 000 euros. Je pourrais réévaluer l’entraineur et les joueurs ».
Affaire à suivre dans les prochaines semaines, qui pourraient être mouvementées, dans les coulisses de la Fédération.