Hautes-Alpes – La
police nationale et la SPA ont mené une enquête conjointe, après le signalement
d’actes de cruauté sur une chienne de 5 mois. Un homme âgé d’une quarantaine
d’années et habitant la ville de Gap sera jugé, le 19 juin prochain, devant le
tribunal correctionnel de Gap pour « sévices graves ou actes de cruauté sur un
animal ».
La Société protectrice des animaux (SPA) s’est portée partie civile. Une enquête de police a été ouverte par le parquet de Gap le 20 mars dernier, après le signalement de sévices sur Laïka, une chienne Dogue argentin âgée de 5 mois, par des proches du propriétaire de l’animal.
L’affaire a été prise au sérieux par les policiers du commissariat de police de Gap qui ont découvert la jeune chienne, vivant au milieu de ses excréments. « La jeune chienne a été conduite chez un vétérinaire, qui a décelé une dizaine de fractures à la mâchoire, au fémur et des douleurs thoraciques laissant supposer que l’animal a été battu », indique à la radio Alpes 1 la capitaine Martine Bertrand, chef d’état-major de la Direction Départementale de la Sécurité Publique (DDSP) des Hautes-Alpes.
Selon des proches du propriétaire, l’homme aurait battu à de nombreuses reprises sa chienne, alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool. « A ce jour, l’animal a été placé dans une famille d’accueil par la SPA. Laïka se porte mieux, mais son handicap à l’arrière train est irréversible. Elle est inopérable », poursuit la capitaine Martine Bertrand.
La Société protectrice des animaux (SPA) s’est portée partie civile. Une enquête de police a été ouverte par le parquet de Gap le 20 mars dernier, après le signalement de sévices sur Laïka, une chienne Dogue argentin âgée de 5 mois, par des proches du propriétaire de l’animal.
L’affaire a été prise au sérieux par les policiers du commissariat de police de Gap qui ont découvert la jeune chienne, vivant au milieu de ses excréments. « La jeune chienne a été conduite chez un vétérinaire, qui a décelé une dizaine de fractures à la mâchoire, au fémur et des douleurs thoraciques laissant supposer que l’animal a été battu », indique à la radio Alpes 1 la capitaine Martine Bertrand, chef d’état-major de la Direction Départementale de la Sécurité Publique (DDSP) des Hautes-Alpes.
Selon des proches du propriétaire, l’homme aurait battu à de nombreuses reprises sa chienne, alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool. « A ce jour, l’animal a été placé dans une famille d’accueil par la SPA. Laïka se porte mieux, mais son handicap à l’arrière train est irréversible. Elle est inopérable », poursuit la capitaine Martine Bertrand.