Alpes de Haute-Provence : LREM, 2018 vers une année à la recherche de talents pour les prochaines échéances

Alpes de Haute-Provence : LREM, 2018 vers une année à la recherche de talents pour les prochaines échéances

POLITIQUE / De retour pour une séquence politique au cœur de son fief à Forcalquier, Christophe Castaner prépare activement les élections européennes, mais aussi les municipales et invite à travailler sur l’ancrage territorial.

 

- Alpes de Haute-Provence -

 

À la tête du parti présidentiel depuis deux mois, le ministre des Relations avec le Parlement, Christophe Castaner revient aussi souvent que possible retrouver ses racines et sa famille à Forcalquier. Mais ce samedi 27 janvier, si l’humeur était décontractée, pas au point de ne pas mettre de cravate « je l’aurai bien laissée de côté, mais il y a des journalistes dans la salle », le message était clair : « la priorité c’est l’ancrage territorial. »

Environ 180 marcheurs étaient présents à l’espace culturel de la Bonne Fontaine. Christophe Castaner qui les invite à s’investir au quotidien dans leurs communes à travers « des projets d’initiative locale », mais aussi envers les élus locaux, maires et parlementaires, présents sur place : « Il nous faut trouver ceux qui demain seront prêts à s’engager pour être candidats aux élections européennes ou aux élections municipales. » Un message lancé à deux ans de l’échéance, mais nécessaire pour préparer les municipales. Car si le parti revendique 390.000 adhérents, en matière d’ancrage local tout reste à faire.

 

« Moi ce qui m’intéresse, c’est d’aller chercher des femmes et des hommes qui veulent s’engager », C.Castaner.

 

Christophe Castaner, au micro d'Alpes 1:

 

8 mois après son élection, regard de militant sur Emmanuel Macron

Nadia Chabal Calvi, marcheuse et animatrice d’un atelier sur l’Europe lors de cette journée de travail, ne regrette en rien son engagement et assure voir se mettre en place des réformes, « parfois dures mais nécessaires » : 

Les marcheurs André et Jacques, constatent eux « du mouvement mais un long chemin reste à faire » et ils alertent sur les risques d’un « capitalisme non intégrant » :

Alors Emmanuel Macron, président des riches ? Pas assez social ? Christophe Castaner répond :